Je connais bien cette situation chez ING, qui traduit avant tout le fait que les commerciaux, pourtant missionnés pour maintenir la bonne relation et la confiance, n'ont aucune prise sur les responsables techniques qui, eux, ne font pas leur travail de mise à jour des données. Si bien que les efforts des premiers pour gagner et conserver des clients sont réduits à néant pas les seconds, qui ne semblent voir aucun lien entre le fait qu'ils touchent un salaire et la nécessité que l'établissement qui les emploie ait une clientèle. Ça fait penser au jeu du bon et du mauvais flic dans les interrogatoires.
Et quand on sait que les banques en ligne n'atteignent toujours pas le seuil de rentabilité en France, même la plus anciennement implantée d'entre elles, un tel sabordage laisse perplexe...
